5 octobre 2011
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Une étude sensible de moeurs avec une belle palette d'acteurs qui font plaisir à voir. Des personnages loufoques. Mais je trouve que c'est trop long. J'ai décroché et cela m'arrive souvent avec ce genre de film nombriliste et bourgeois. Et c'est le défaut de beaucoup de films français!
Fiche technique
Critique de Télérama
Note: 5/10
Published by alexlechti
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dans
Cinéma français
2 octobre 2011
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Film parmi d'autres récents qui pointe le désir de changement de la société israélienne dont les manifestations actuelles en sont l'expression populaire. Aaron, membre respecté et actif de la communauté juive ultra-orthodoxe de Jérusalem, suite à la rencontre de Ezri, jeune et beau garçon étudiant, va voir sa vie bouleversée et malgré les pressions de son entourage et de sa famille, partager l'amour avec Ezri. Il sera dans l'obligation de faire un choix. Ce film est magnifique. Il me fait beaucoup penser à la manière de filmer de Wong KAR-WAI. C'est fluide, sensuel, prés des corps, posé, attentif,intelligent, tendre, cruel, amoureux, dramatique, sans pathos... Une merveille qui mérite ses 5 nominations au Festival de Cannes 2009.
Fiche technique
Critique de Télérama du Monde
Critique avec un regard sociologique trés instructif
Note: 10/10
Published by alexlechti
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dans
Cinéma du Moyen-Orient
2 octobre 2011
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Film sur le lien indéfectible à l'enfant, ce qu'il nous fait découvrir, l'acceptation de la différence, la découverte de l'autre , le partage d'une quête commune et de la douleur face à un drame qui unit tous les Hommes, les fondamentaux qui font que l'être humain quel qu'il soit, face au corps nu, à l'acte de procréation, à la mort, est universel. Ce qui est génial, c'est que cela est réalisé de manière simple, sans pathos ni pitié, au plus prés des corps et interprété de manière très juste. Un film qui a mérité son prix et ses sept nominations à la Berlinale de 2009.
Fiche technique
Critique Télérama
Note: 8/10
Published by alexlechti
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dans
Cinéma français
2 octobre 2011
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Un premier film, film social, bien maîtrisé avec un casting parfait, une belle maîtrise du montage. On ne s'ennuie pas une minute si bien sûr la question sociale du monde de l'entreprise a un intérêt pour vous. Cela reste malgré tout une comédie, le théâtre (dans le fond comme dans la forme) d'un jeu de massacre nimbé d'un optimisme naïf. Je n'ajouterais rien (si ce n'est ma note) de plus à d'autres critiques professionnelles et amateurs que je vous invite à découvrir dans les liens hypertextes ci-dessous. Bon film!
Fiche technique
Critique dans Télérama ; Le Monde
Note: 7/10
Published by alexlechti
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dans
Cinéma européen
26 septembre 2011
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Ça y est, j'ai réussi à le voir. J'ai essayé, je devais être adolescent mais je me souvient m'être arrêté au "Cercle de la merde". C'est un film que l'on doit regarder de manière consciente, volontaire et armé d'une bonne confiance en soi car c'est un véritable coup de poing. C'est le coté obscur de la vision de la société par PASOLINI à ce moment de sa vie, à l'opposé total de ses films précédents qui sont plutôt des odes à la vie et la sensualité. C'est pour moi le film absolu de la dénonciation de la violence politique sur les corps, métaphore passé et présente de l'avilissement humain. Je le place avant "Orange mécanique" de Stanley KUBRICK que je trouve moins universel. Mais laissons parler le maître PASOLINI:
"[...Le sadomasochisme fait parti de l'homme. Il existait au temps de Sade et aujourd'hui. Mais ce n'est pas le plus important. Le sens réel du sexe dans mon film est une métaphore du rapport entre pouvoir et soumission. Tout le raisonnement de Sade, le sadomasochisme de Sade a une fonction bien spécifique et claire:représenter ce que le pouvoir peut faire du corps humain.La réduction du corps à l'état de chose, le trafic de corps, l'annulation de la personnalité de l'autre.
C'est un film sur le pouvoir mais aussi sur l'anarchie du pouvoir. Rien n'est plus anarchique, ce que veut le pouvoir est totalement arbitraire ou dicté par des nécessités économiques échappant à la logique. Mais plus qu'un film sur l'anarchie du pouvoir, ce film porte aussi sur l'existence de l'Histoire, l'Histoire comme elle est perçue dans la culture européenne: le Rationalisme et l'Empirisme occidental d'une part et le Marxisme d'autre part. Le film veut démontrer l'inexistence de l'Histoire...]
[...Peut être pas de nos jours. Je considère ça comme une métaphore du rapport du pouvoir à qui il lui est subordonné. Cela est donc valable pour tous les temps. Bien sûr, je suis influencé par ma sainte horreur du pouvoir d'aujourd'hui: il manipule les corps de façon horrible et n'a rien a envier à la manipulation exercée par Himmler ou Hitler. Il les manipule en transformant la conscience de la pire façon qui soit, en instituant de nouvelles valeurs aliénantes et fausses: celles de la société de consommation qui aboutissent à ce que Marx nomme un génocide des cultures vivantes réelles et aliénantes...]
[...L'homme a toujours était conformiste, c'est l'un de ses traits principaux. Il se conforme au type de pouvoir qu'il trouve en naissant. C'est aussi une qualité sociale de l'homme. L'homme est peut être de nature narcissique, rebelle: il aime sa propre identité. C'est la société qui le rend conformiste, qui lui fait courber l'échine fasse aux obligations de la société. C'est un fait individuel qui peut avoir des répercutions même dans un certain milieu social. Mais je ne crois pas que l'homme puisse être libre. Il ne faut jamais espérer. L'espoir a été inventé par les partis pour garder leurs électeurs...]
Pour plus d'analyse:
La fiche sur allo ciné
Un article Wikipédia
Une analyse développée
Note: INDISPENSABLE!
Published by alexlechti
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dans
Cinéma européen
15 septembre 2011
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J'ai d'abord était agacé par ce film, notamment la manière de filmer qui ressemble aux sempiternelles séries télévisuelle (cadrage académique, lumière sans contraste, des champs contre-champs limites et sans passion ni sens) pour finalement m'attacher à l'histoire, aux personnages. C'est un sujet (le matricide) qui est finalement peu abordé au cinéma, en dehors de celui tiré du répertoire classique. A voir juste pour le thème.
Plus d'info...
Des articles dans... Télérama Le monde Fin de séance
Notes: 6/10
Published by alexlechti
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dans
Cinéma français
5 septembre 2011
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"Partout où il y a eu des sociétés, des gouvernements, des religions, des opinions publiques puissantes, bref, partout où il y a eu tyrannie, elle a éxécré le philosophe solitaire, car la philosophie offre à l'homme un asile où nulle tyrannie ne peut pénétrer, la caverne de l'intériorité, le labyrinthe du coeur: ce qui indipose les tyrans."
Extrait de "Considération inactuelle"
Published by alexlechti
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dans
Politiques
4 septembre 2011
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"Mentir, ce n'est pas seulement dire ce qui n'est pas. C'est aussi, c'est surtout dire plus que ce qui est et, en ce qui concerne le coeur humain, dire plus qu'on ne sent. C'est ce que nous faisons tous, tous les jours, pour simplifier la vie. Vous, contrairement aux apparences, ne voulez pa simplifier la vie. Vous dites ce que vous êtes, vous refusez de masquer vos sentiments et aussitôt la société se sent menacée."
Extrait de "Lettre à Meursault" d'Atiq RAHIMI publiée dans le mensuel "Magazine littéraire" Juillet-Août 2011, texte extrait lui-même de "L"étranger" d'Albert CAMUS.
Published by alexlechti
2 septembre 2011
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"Heureux qui, s'écartant des sentiers d'ici-bas,
A l'ombre du désert allant cacher ses pas,
D'un monde dédaigné secouant la poussière,
Efface, encor vivant, ses traces sur la terre,
Et, dans la solitude enfin enseveli,
Se nourrit d'espérance et s'abreuve d'oubli!"
Premiers vers de "La solitude" du recueil "Nouvelles méditations poétiques"
"Un seul être vous manque et tout est dépeuplé"
Extrait du poème "L'isolement"
"L'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux"
Extrait du poème "L'homme"
Ces deux extraits de poèmes sont tiré du recueil "Méditations poétiques"
Published by alexlechti
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dans
Poésie
1 septembre 2011
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07:37
" à l'égard de Dieu, nous avons toujours tort" extrait de Le concept de l'angoisse
Published by alexlechti