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14 janvier 2022 5 14 /01 /janvier /2022 19:42

Blade trinity (2004) de Davis S. GOYER : dernier de la trilogie, son échec relatif au box-office a fini de l'orienter vers les différentes tentatives proposées de suite éventuelle. Aussi sommes-nous en face d'une œuvre batarde qui de part ses hésitations gâchent une fin qui aurait pu être à la hauteur des deux premiers opus. Dommage.

 

Elektra (2004) de Rob BOWMAN : de la série Z qui se prends au sérieux. Du coup, aucun intérêt.

 

Lola (1961) de Jacques DEMY : l'acmé du cinéma français. La liberté de la Nouvelle vague associée aux charmes de la comédie musicale américaine. Avant les Parapluies de Cherbourg, DEMY nous offre ici une oeuvre pleine de poésie, de charme, de délicatesse, d'intelligence tout en étant une oeuvre à portée sociale et de réflexion sur le bonheur. Tout est parfait. Le jeu des acteurs, la lumière, le cadre, la musique, l'équilibre entre les scènes intimes et les extérieurs. Nous sommes dans une chorégraphie. Et même s'il n'y a l'interprétation que d'une chanson, les mouvements de caméra et la voluptuosité des dialogues font que nous sommes constamment embarqués dans une danse. C'est un pur bonheur.

En plus de DVDClassik, avis de Critikat : L'IDÉE DE COMÉDIE MUSICALE

 

Frances Ha (Juillet 2013) de Noah BAUMBACH : récit tout en douceur et délicatesse d'une amitié et de la construction en parallèle de sa propre vie, avec et sans l'autre. De par l'expérience constamment renouvelée, elle réussira à faire son bout de chemin et creuser son sillon. Un petit moment de bonheur au cinéma.

 

Ma meilleure amie, sa sœur et moi (Juillet 2013) de Lynn SHELTON : marivaudage moderne et sympathique.

 

Dans un jardin je suis entré (Juillet 2013) d'Avi MOGRABI : Sur fond de partage d'histoire familiale et de retour sur les lieux de l'enfance, un documentaire sensible et intelligent sur l'amitié entre un israélien et un arabe.

 

X-Men, le commencement (2011) de Matthew VAUGHN : quatrième tourné et premier à visionner car il retrace l'histoire de la rencontre et les raisons qui amènent à l'ouverture de l'école des X-Men. C'est le plus passionnant car s'attachant à raconter les origines, et donc au plus près de la psychologie des personnages. Ce qui permet du coup un équilibre entre l'intime et le spectaculaire.

 

X-Men : days of future past (2014) de Bryan SINGER : par le réalisateur des trois premiers. Assez spectaculaire et crépusculaire. On peut regretter malgré tout un scénario un peu faiblard qui du coup étire des scènes et fait perdre de la dynamique. N'apporte pas grand chose à l'ensemble du cycle.

 

X-Men : apocalypse (2016) de Bryan SINGER : bon là le pépère faut qu'il arrête. Il est fatigué. Complètement nul. Dommage car il permet à des personnages de se développer, notamment Jean dont son rôle sera prépondérant dans le suivant.

 

X-Men : dark phoenix (2019) de Simon KINBERG : dernier en date. Et qui rattrape la série au regard des deux derniers. Jean prend toute la place qu'elle méritait au regard de ses pouvoirs. X-Men va perdre un de ses personnages principal mais ils vont sortir de cette épreuve soudés. Réalisation équilibrée et rythmée sur un temps d'1h50 qu'aurait mérité les derniers opus. Ce n'est peut-être qu'un au revoir qui finit bien. 

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