Miracle à Milan (1951) de Vittorio DE SICA : conte fantastico-poétique d'une grande générosité emprunt de charité chrétienne qui peut hérisser.
Présumé coupable (septembre 2011) de Vincent GARENQ : Philippe TORETON est excellent. Un fait de société (l'affaire Outreau, ses suites et conséquences judiciaires) support d'un film classique.
Les châtiments (avril 2007) de Stephen OPKINS : film à effets spéciaux type fléaux bibliques. Distrayant.
En cloque, mode d'emploi (octobre 2007) de Judd APATOW : bonne comédie américaine à la limite du potache mais des dialogues excellents. Par le réalisateur de "40 ans, toujours puceau" et "Funny people".
Syriana (février 2006) de Stephen GAGHAN : très bon film politique et d'action sur les relations américaines et les pays du Moyen-Orient, le terrorisme et le nouvel ordre économique avec l'entrée des pays asiatiques (ici la Chine) et ses conséquences.
Frankenweenie (1984) de Tim BURTON : court-métrage pour les fans car on y trouve ce qui constituera l'univers de BURTON notamment dans "Edward aux mains d'argent". Par contre, je ne trouve pas que cela soit suffisant pour un long métrage, ce qu'il a fait en 2011.
Le roi Arthur (août 2004) d'Antoine FUQUA : Arthur avant qu'il ne devienne roi. Bon film d'action. Pour les fans de film de cape et d'épée moderne.
Américan trip (septembre 2010) de Nicholas STOLLER : bonne comédie américaine dans le milieu people de la musique. Par le réalisateur de "Sans Sarah, rien ne va !". Un bon moment.
Les amours imaginaires (septembre 2010) de Xavier DOLAN : de la Nouvelle vague à la sauce canadienne. Pas mal.
Des hommes et des dieux (septembre 2010) de Xavier BEAUVOIS : beaucoup de bruit pour rien, je trouve. Comme beaucoup de ses films. Effectivement, cela manque de grâce.
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