La dizaine 113 : Il était une forêt ; Violette ; Les anonymes ; Hôtel des Amériques ; All is lost ; Le grand sommeil ; Le géant égoïste ; Les hommes de la mer ; A touch of sin ; The Arbor.

ll était une forêt (Novembre 2013) de Luc JACQUET : documentaire pédagogique qui, accompagné des commentaires d'un naturaliste et mêlant images réelles et virtuelles, nous fait découvrir l'écosystème d'une forêt primaire. Promesse de découvertes et une leçon de vie. On peut regretter encore une fois l'absence totale de prise en compte dans cet écosystème de l'humain à travers les peuples autochtones qui vivent dans ces forêts. Et pourtant, ces chasseurs-cueilleurs sont bien des exemples que l'espèce animale la plus "développées" est en capacité totale de vivre en continuité du vivant. C'est encore une fois un positionnement colonialiste. 7/10

Violette (Novembre 2013) de Martin PROVOST : lire l'article de Critikat en cliquant sur le titre du film. 6/10

Les anonymes (2014) de Pierre SCHOELLER : lire les articles de Médiapart et Le Monde. 8/10

Hôtel des Amériques (1981) d'André TECHINE : lire l'article de DVD Classik en cliquant sur le titre du film et de Critikat. 7/10

All is lost (Décembre 2013)  de J. C. CHANDOR : lire l'article de Critikat en cliquant sur le titre du film et de L'Œil sur l'écran. 7/10

Le grand sommeil (1946) d'Howard HAWKS : lire l'article de Critikat en cliquant sur le titre du film. 7/10

Le géant égoïste (Décembre 2013) de Clio BARNARD : lire l'article de Critikat en cliquant sur le titre du film. 8/10

Les hommes de la mer (1940) de John FORD : lire l'article de DVD Classik en cliquant sur le titre du film. 9/10

A touch of sin (Décembre 2013) de Jia ZHANG-KE : lire l'article de Critikat en cliquant sur le titre du film. 9/10

The Arbor (Octobre 2010) de Clio BARNARD : biopic d'Andrea DUNBAR, dramaturge issue d'un quartier populaire, le film a l'intelligence de la forme et du fond. De la forme par l'usage de comédiens professionnels dont le doublage reprends des paroles issues d'entretien avec les vrais protagonistes et le fond en élargissant le biopic non pas à la seule dramaturge mais aussi sa famille. Le reste de l'histoire fait de ce film une merveille. 10/10.