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18 mai 2016 3 18 /05 /mai /2016 22:05

Brève rencontre (1945) de David LEAN : Une brève rencontre...un amour impossible. L'étau de la pression sociétale admirablement représenté par David LEAN.

Holiday (2010) de Guillaume NICLOUX : une comédie grinçante de type "Cluedo". On peut regretter quelques facilités de scénario.

Les cheyennes (1964) de John FORD : le périple du long retour des Cheyennes sur la terre d'origine. Par le maître primitif du western américain.

Oliver Twist (1948) de David LEAN : une adaptation fidèle du roman

Mission impossible - Protocole fantôme (Décembre 2011) de Brad BIRD : un bon film de copains en action. Par le réalisateur maison de Pixar (Le géant de fer - Les indestructibles - Ratatouille).

Hugo Cabret (Décembre 2011) de Martin SCORCESE : Déception.

La clé des champs (Décembre 2011) de Claude NURIDSANY & Marie PERENNOU : par les réalisateurs de Microcosmos (1996), une histoire d'enfance où la nature tient le rôle principal. Magnifique.

Qu'ils reposent en révolte (Des figures de guerre) (Novembre 2011) de Sylvain GEORGE : Trois ans en compagnie des migrants de Calais, juste après le démantèlement du camp de Sangate, sous Sarkosy. Encore d'actualité. Indispensable. Visible dans son intégralité ici.

La femme du Vème (Novembre 2011) de Pawel PAWLIKOWSKI : Bof! Déjà vu.

The Black Power mixtape 1967-1975 (Novembre 2011) de Göran Hugo OLSSON : des archives de la télévision suédoise sont l'occasion d'un retour sur le mouvement des Black Panthers. Trés instructif.

 

 

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4 juillet 2015 6 04 /07 /juillet /2015 20:51

Chien enragé (1949) d' Akira KUROSAWA : la grande classe. A travers l'obsession d'un policier de retrouver son arme utilisée par un meurtrier, le maitre japonais, dans un polar mouate, nous fait découvrir le japon d'après guerre et le milieu interlope de Tokyo.

La maison près du cimetière (1981) de Lucio FULCI : par un réalisateur culte du cinéma italien, un film gore qui malgré ses faiblesses cause angoisse et frayeur. Impatient de voir de lui "L'enfer des zombies". A ne pas mettre sous tous les regards.

L'année dernière à Marienbad (1961) d'Alain RESNAIS : une claque esthétique et formelle que ce film. Plus de 50 ans après, il reste d'une modernité incroyable. Goûtez à la magie des images et des mots. Du pur hédonisme. Avis également de Télérama et Ciné club de Caen.

True legend (sept. 2011) de Woo-Ping YUEN : pur produit de l'industrie culturelle chinoise inspirée de son histoire. Pour les fans des arts martiaux.

Restless (sept. 2011) de Gus VAN SANT : présente dans nombre de ses films, celui-ci est de nouveau hantée par la mort. De facture classique, il est, grâce à son regard original, une oeuvre sensible sur la fragilité de la nature humaine.

Laïcité, inch'Allah (sept. 2011) de Nadia EL FANI : le combat courageux de la laïcité en Tunisie illustré avant, pendant et après le printemps arabe.

Habemus papam (sept. 2011) de Nanni MORETTI : comme souvent chez Moretti, une fable intelligente et pleine d'humour sur le pouvoir. Excellent.

Un été brulant (sept. 2011) de Philippe GARREL : ... qui m'a laissé de glace.

Carré blanc (sept. 2011) de Jean-Baptiste LEONETTI : polar froid et sanglant dans un monde dominé par le néo-libéralisme inhumain. Original et bien fait. Réalisateur à suivre...

L'Apollonide, souvenirs de la maison close (sept. 2011) de Bertrand BONELLO : quotidien et décadence d'une maison close en France fin 19ème. Quelques longueurs mais dans l'ensemble une belle direction d'actrices, un parti pris exthétique sans néanmoins négliger le sujet de la condition féminine.

 

 

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 20:38

Madame Bovary (1991) de Claude CHABROL : Subtile et fidèle adaptation du magnifique roman de FLAUBERT.

Les camarades (1963) de Mario MONICELLI : entre néo-réalisme et comédie italienne. Pour les acteurs et le contexte ouvrier.

The must be the place (Aout 2011) de Paolo SORRENTINO : chiant à mourrir. Je ne suis pas allé au bout.

La piel que habito (Aout 2011) de Pedro ALMODOVAR : adapté de La migale de l'excellent Thierry JONQUET, un thriller mené de main de maître et formellement parfait et noir comme il se doit.

Michel Petrucciani (Aout 2011) de Michael RADFORD : partez à la découverte d'un musicien exceptionnel!

Melancholia (Aout 2011) de Lars VON TRIER : pas son meilleur mais malgré tout une belle fable sur la fin du monde et une Kirsten DUNST à la plastique parfaite.

The future (Aout 2011) de Miranda JULY : une nouvelle comédie amoureuse toute en poésie par la réalisatrice de Moi toi et tous les autres. Moins maitrisée sur la longueur mais pas désagréable. 

Comment tuer son boss ? (Aout 2011) de Seth GORDON : comédie américaine du dimanche. On peut s'en passer.

Blackthorn, la dernière chevauchée de Butch Cassidy (Aout 2011) de Matéo GIL :  un western de facture classique, genre crépusculaire et pas déagréable. De belles scènes dans des grands espaces, notamment un désert de sel.

Les bien-aimés (Aout 2011) de Christophe HONORE : j'ai pas tenu jusqu'au bout!

 

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25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 18:26

La grotte des rêves pedus (Aout 2011) de Werner HERZOG : un magnifique documentaire sur un des premiers lieux connus de création de la peinture humaine : la grotte Chauvet (- 35 000 ans).

Cowboys et envahisseurs (Août 2011) de Jon FAVREAU : réussite que cette rencontre incongrue entre deux genres codés du cinéma grâce à leurs maitrises.

Husbands (1971) de John CASSAVETES :  une longue disgression sur la vie, la mort, l'amitié, la famille, l'amour à la quarantaine d'une bande de copains suite au décés de l'un deux. Le cinéma liberté de CASSAVETES, indispensable.

Pris au piège (1949) de Max OPHÜLS : avant-dernier film de la période américaine, oscillant entre film noir et film psychologique, on y trouve ce qui fera le style inoubliable d'OPHÜLS qui s'épanouïra en France. Notamment de fameux plans séquences dont celui inoubliable dans le cabinet du docteur.

Je ne suis pas un ange (1933) de Wesley RUGGLES : Mae WEST dans toute sa spleudeur. Scénariste et dialoguiste, c'est à un festival de jeux de mots irrévérencieux auquel nous assistons. Pétaradant!

La dernière séance (1971) de Peter BOGDANOVITCH : l'anti-"américan dream" dans une bourgade du Texas. Du HOPPER au cinéma. Un hommage vibrant aux laissés pour compte de l'"américan way of life". Splendide!

Tourments (1953) de Luis BUNUEL : film de la période mexicaine du cinéate, il est une étude sur les tourments de la jalousie. Il a inspiré HITCHCOCK pour "Vertigo" et le réalisateur avouera dans ses mémoires être un de ses plus personnel.

La vie criminelle d'Archibald de la Cruz (1955) de Luis BUNUEL : plus léger et caustique que le film précédent, nous sommes ici dans les thèmes plus habituels du réalisateur comme le fétichisme, la proximité éros-thanatos et la critique de la société bourgeoise.

Promets-moi (2007) d' Emir KUSTURICA : Si vous avez aimé Papa est en voyage d'affaire - Le temps des gitans - Chat noir, chat blanc - La vie est un miracle, vous aimerez celui-ci.

Tyson (Août 2011) de James TOBACK : documentaire sensible sur la vie contreversée d'une des figures historiques de la boxe. Surprenant et pédagogique.

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21 février 2015 6 21 /02 /février /2015 18:48

Le sergent noir (1960) de John FORD : par un des maîtres du western, une fable humaniste, en plein combat contre la ségrégation. 

Wonderful town (2007) de Aditya ASSARAT : un magnifique film sur la Thaïlande post-tsunami. Et qui pointe de manière subtile que la catastrophe naturelle est loin d'être la plus dévastatrice.

A bout de course (1988) de Sidney LUMET : un sujet très rarement évoqué : celui de l'exil dans son propre pays pour raison politique. Et de manière plus symbolique, la difficulté de laisser ses enfants s'épanouïr et vivre leur propre vie.

Les ruelles du malheur (1948) de Nicholas RAY : polar dénonçant le déterminisme social et la cruauté d'une middle class  possédant l'arme de la peine de mort.

1950-1990 : le scandale des armées secrètes de l'OTAN par Emmanuel AMARA : documentaire sur la guerre froide et ses conséquences en Europe. Implacable et nécessaire. Pour le voir ici : https://www.youtube.com/watch?v=Z7LmCs51Z5g

Woman on the beach (2006) de Hong SANG-SOO : l'anti-romantique par excellence ou la complexité des rapports amoureux.

Un amour de jeunesse (juillet 2011) de Mia HANSEN-LOVE : comme ses deux films précédents, une grande finesse d'observation de l'adolescence et de ses sentiments.

The trip (juillet 2011) de Michael WINTERBOTTOM : un bijou de comédie anglaise.

Lourdes (juillet 2011) de Jessica HAUSNER : "Le miraculé" version réalisatrice. Plus subtil, plus fantastique. Une curiosité.

Les contes de la nuit (juillet 2011) de Michel OCELOT : un voyage international au pays des contes. Une oeuvre à vertu pédagogique pour donner ensuite le goût de lire des contes de tous les pays. Pour les jeunes enfants.

 

 

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 21:38

Anna (1994) de Nikita MIKHALKOV : le regard d'un cinéaste russe de 1980 à 1991 sur les transformations de son pays à travers un portrait de sa fille Anna. Original.

  Les enfants perdus de Tranquility Bay (2005) de Jean-Robert VIALLET et Mathieu VERBOUD : David contre Goliath, le combat d'une mère contre WWASP, association fondamentaliste mormonne pour dénoncer leur méthode inhumaine de modification comportementale. Un des nombeux disfonctionnement de la démocratie américaine. Sensationel mais néanmoins nécessaire.

Liebelei (1932) de Max OPHULS : le film qui a lancé la carrière du réalisateur en Europe. Avec la mère de Romy SCHNEIDER. Pour les cinéphiles.

Deux filles aujourd'hui (1997) de Mike LEIGH : un bijoux de comédie à l'anglaise douce et amère. Un casting d'enfer. Une belle surprise!!!

Pater (juin 2011) d'Alain CAVALIER : un work-in-progress forcément politiquement incorrect de CAVALIER avec Vincent LINDON. Une belle leçon de cinéma libre.

Omar m'a tuer (juin 2011) de Roschdy ZEM : de facture classique et sincère avec une interprétation troublante de Sami BOUAJILA. Pour les curieux, un site sur l'affaire.

La dernière piste (juin 2011) de Kelly REICHARDT : du western beckettien par une des réalisatrices américaines contemporaines les plus talentueuses et originales, avec auparavant Old Joy et Wendy and Lucy.

Le chat du rabbin (juin 2011) de Joann SFAR & Antoine DELESVAUX : adapté de sa BD, une belle leçon de tolérance religieuse.

Beginners (juin 2011) de Mike MILLS : inspiré de sa propre vie, la difficulté de se libérer du poids de la tristesse et de (se) reconstruire. D'une grande sensibilité, original et sans pathos.

Balada triste juin 2011) d'Alex de LA IGLESIA : du pur LA IGLESIA : baroque, violent, déjanté, touchant et imparfait. Pour les fans.

 

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3 août 2014 7 03 /08 /août /2014 21:15

The red riding trilogy 1974 (2009) de Julian JARROLD : tiré d'une quadralogie de l'auteur David PEACE, réduit à trois pour le cinéma faute de financement, celui-ci est un hommage au cinéma des années 70 style à la POLLACK, COPPOLA, LUMET. Du film noir, très noir comme je les aime. Ici, une interview du réalisateur de cet opus (pensez à mettre les sous-titres en français si besoin!).

The red riding trilogy 1980 (2009) de James MARSH : le plus noir des trois. Machiavélique! C'est certainement le plus maîtrisé en termes de réalisation. Ici, un petit making of offert par bibi!

The red riding trilogy 1983 (2009) de Anand TUCKER : bas là, ça y est c'est le dénouement. De facture plus classique. Ici, les coulisses du tournage. Je vous gate, hein!

L'âge de glace (2002) de Chris WEDGE & Carlos SALDANHA : Et oui, je me suis taper les quatre!! Mort de rire! Opus 1. Découverte de ces merveilleux compagnons de rires aux éclats dont notamment Scrat et Sid. Un film devenu culte non !? En tout cas, ici, un forum pour les fans.

 L'âge de glace 2 (2005) de Carlos SALDANHA : Hé oui, il l'a réalisé tout seul! Le délire continue avec l'apparition notamment des deux opposums, complices pour faire les pires bêtises! Ici, un autre forum. On sait jamais, si l'autre ne vous suffit pas!

L'âge de glace 3 (2009) de Carlos SALDANHA & Mike THURMEIER : un bon délire avec des dinosaures. Bon là, c'est vrai qu'on commence à faire dans le pastiche. Ici, un hommage à SPIELBERG, une des aventures de Scrat la plus longue toujours aussi folle et désopilante et une belette borgne complètement givré dans sa tête à force de vivre avec les dino!

L'âge de glace 4 (2012) de Mike THURMEIER & Steve MARTINO : où on retrouve la famille de Sid qui l'abandonne encore mais qui lui laisse sa grand-mère pleine de ressource, un hommage au film de pirates, le club qui s'agrandit et Scrat toujours aussi délirant. Le 5 prévu pour 2016!

Himalaya, le chemin du ciel (2008) de Marianne CHAUD : documentaire qui nous fait partager le quotidien d'un enfant moine, au monastère et dans sa famille. Magnifique!

La femme aux cigarettes (1948) de Jean NEGULESCO : je crois qu'il n'y a pas une seconde où on ne voit pas des acteurs fumés! Film noir de facture classique. Pour WIDMARK qui s'affirmera dans les films suivant et LUPINO, à la voix et ses chansons si particulières.

Berlin calling (2008) de Hannes STÖHR : interprété par Paul KALKBRENNER, DJ allemand, une découverte du monde d'un DJ à Berlin. Pas mal.

 

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 14:32

Suite à un article de Charles BOWDEN publié dans Harper's magazine, Gianfranco ROSI décide d'en faire un documentaire. Et ça fait longtemps que je n'ai pas pris une claque pareil! C'est totalement bouleversant! Ce "tueur à gage" raconte vingt ans de sa vie au service du cartel de la drogue (recrutement - fonctionnement - opération) et démonte ainsi une grosse partie du système. A la crise de la quarantaine, il décide dans un premier temps d'arréter d'utiliser tous les expédients qui lui permettent d'être dans un état second et de faire son travail. Devenu la risée du clan et rétrogradé à un niveau de débutant, il décide de recommencer pour lui permettre d'avoir l'opportunité de puiser une partie de l'argent lors d'un échange. C'est sa condamnation et il le sait. Après avoir pu sauvé sa famille, il s'enfuit sans elle et va trouver refuge chez une personne de confiance. C'est là que lors d'une cérémonie religieuse, il s'effondrera totalement et redeviendra un être humain après avoir été un prédateur féroce vingt années durant. Il est maintenant sous le coup d'une mise à prix du cartel et son quotidien est la cavale.

Le tout est tourné dans une chambre d'hôtel dans laquelle il a déjà oeuvré. Il est recouvert de manière à ce que l'on ne voit jamais son visage. Il témoigne et illustre par des croquis sur un carnet à dessin. De temps en temps, il se lève et joue devant la caméra ce qu'il a vécu. La condession finale est d'une intensité mélodramatique bouleversante. Un instantanée de vérité humaine d'une grande universalité. Un traumatisme individuel effrayant quand on pense à tous les autres sicarios, mais plus généralement à tous ceux qui pour une raison ou pour une autre ont pour quotidien la mort violente comme compagnon. Comment accompagner ceux qui veulent s'en sortir, comment vivre après ça, comment la société doit elle répondre, pourquoi ne l'aide-t-on pas comme lanceur d'alerte, comment une société peut-elle autant être corrompue ? A suivre...

Fiche , avis de Télérama et présentation de Arte.

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 18:08

http://fr.web.img3.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/65/47/65/19050516.jpgJude (1996) de Michael WINTERBOTTOM : d'après un roman de Thomas HARDY, un mélodrame sur la difficulté de s'aimer entre cousins dans l'Angleterre du XIXème. Un beau film sur la résistance, l'insoumission à la motale bien-pensante et l'amour plus fort que la mort et les préjugés.

 

http://fr.web.img4.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/64/04/14/18747654.jpgLe goût de la cerise (1997) d'Abbas KIAROSTAMI : du cinéma qui prend son temps. Un homme cherche une personne pour l'aider à mourir et l'enterrer. Dans sa recherche, il rencontre un soldat, un religieux et un gardien de musée. Une réflexion sincère et courageuse sur le suicide, le goût de la "cerise", dans la république islamique iranienne. Palme d'or en 1997.

 

http://fr.web.img1.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/97/55/58/20535583.jpgDollars (1972) de Richard BROOKS : comédie policière classique des année 70 sur des voleurs volés. Honnête, sans plus.

 

http://pmcdn.priceminister.com/photo/repro-affiche-dimanche-d-aout-realise-en-1950-par-luciano-emmer-avec-emilio-cigoli-anna-baldini-environ-40x60cm-906875619_ML.jpgDimanche d'août (1950) de Luciano EMMER : chronique d'un dimanche d'août de citoyens romains au bord de mer. Par un documentariste connu pour ses oeuvres sur des peintres célèbres. Une curiosité.

 

http://fr.web.img5.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/35/23/58/18398340.jpgAlexandre (2004) d'Oliver STONE : par un cinéaste qui n'a rien fait de bien depuis "Les doors" en 1990. Manque la patte d'un COPPOLA, HERZOG ou KUBRICK.

 

http://fr.web.img3.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/78/58/16/19499827.jpgVery bad cops (octobre 2010) d'Adam McKAY : belle surprise que cette comédie policière. Tout en parodiant le cinéma policier d'action (les premières minutes du film sont à ce titre excellentes et trompeuses), c'est un improbable délire sur l'adage "l"habit ne fait pas le moîne" et une dénonciation de la délinquance au col blanc. C'est par moment un peu lourd mais pas dénué d'intérêt.

 

http://fr.web.img1.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/79/07/98/19504245.jpgVénus noire (octobre 2010) d'Abdellatif KECHICHE : partagé. Trop long. A croire qu'il prend plaisir à montrer l'inhumanité avec pour jouet la "Vénus Hottentote". Elle est un prétexte et non le sujet. Manque d'humanité justement, à la DOSTOIEVSKI ou LYNCH d'"Elephant man".

 

http://fr.web.img6.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/78/52/54/19534550.jpgThe social network (octobre 2010) de David FINCHER : parfait! Dans la lignée de "Zodiac". Du grand classique. Pour ceux que le sujet interesse.

 

http://fr.web.img4.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/74/91/15/19501192.jpgLe royaume de Ga'Hoole, la légende des gardiens (octobre 2010) de Zack SNYDER : scénario classique de l'affrontement du bien contre le mal, de la démocratie contre le totalitarisme, de la liberté contre l'obscurantisme, à travers le destin collectif et individuel de chouettes. Un beau travail d'animation numérique. Original. 

 

http://fr.web.img3.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/78/13/39/19518452.jpgNostalgie de la lumière (octobre 2010) de Patricio GUZMAN : le second film philosophique de la sélection avec "Le goût de la cerise". Un magnifique documentaire sur le passé, l'Histoire. Celle du Cosmos et celle de l'Homme. Dans un même espace, des êtres humains observent, cherchent, l'infiniment petit dans l'infiniment grand pour tenter de répondre à leur soif de vérité. D'un côté des astronomes observe le ciel à la recherche d'objets célestes, indices de l'histoire de notre planète mais également de son futur, et de l'autre, dans le même désert d'Acatama, des femmes cherches des fragments de corps de leurs chers disparus de la dictature chilienne que l'armée jetait dans la mer ou le désert. Une belle leçon d'humanité. A voir. 

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 18:53

http://images.allocine.fr/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/36/27/35/18480422.jpgLe soleil (2005) d'Alexandre SOKOUROV : film très surprenant sur les dernières heures de l'empereur Hiro Hito où il décide de capituler sans conditions et renonce à son ascendance divine. D'un grand intérêt, que cela soit historique, culturel et esthétique.Une oeuvre d'un grand artiste du cinéma.

 

http://images.allocine.fr/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/36/15/37/18604393.jpgHorribilis (2005) de James GUNN II : excellent film d'horreur. Pour les fans car plein de clin d'oeil au cinéma d'horreur. Pour une bonne soirée gore.

 

http://fr.web.img2.acsta.net/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/35/31/15/18386309.jpgMon père est ingénieur (2003) de Robert GUEDIGUIAN : sa naïveté me gonfle. Je ne suis pas allé jusqu'au bout du film.

 

http://images.allocine.fr/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/72/50/71/19205412.jpgThe celluloïd closet (1995) de Robert EPSTEIN et Jeffrey FRIEDMAN : excellent documentaire sur le traitement de l'homosexualité à Hollywood. Mais également une facette de l'évolution de l'image et des droits de l'homosexualité au vingtième siècle. Instructif et émouvant.

 

http://ts1.mm.bing.net/th?id=H.4620531013320916&pid=15.1&H=160&W=119The brig (1964) des frères MEKAS : captation anarchique et urgente d'une représentation de la pièce du même nom par le Living Theatre avant son interdiction pour outrage aux institutions militaires américaines. Le cinéma comme espace de liberté. Excellent.

 

http://images.allocine.fr/r_160_240/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/64/88/58/19117549.jpgClasse tous risques (1960) de Claude SAUTET : ce film est une merveille de film noir. Tout y est : ambiance sombre, trahisons, destins tragiques, amours déchus, acteurs remarquables. Une perle.

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