p27 [...]Derrière une rangée de fils de fer barbelés, l'entrepôt surgit. "Au troisième étage de FRA-1, il n'y a aucune fenêtre, aucune ouverture, et pas de climaisation, témoigne cette ex-employée. L'été, la température dépasse les 40°C, et les malaises...
On pense immanquablement à "Le ruban blanc" de HANEKE mais ce film a été fait 40 ans auparavant. Adaptation d'une pièce de Martin SPERR et dans lequel il interprète le rôle principal d'Abram, il est le parfait exemple d'un fascisme ordinaire dans un village...
Quatrième de couverture : A partir de 1863, Adèle HUGO, la fille, qui portait le prénom de sa mère et qui avait, alors, trente-trois ans, devint dans sa famille celle dont on ne parlait qu'à voix basse et dont on évitait de prononcer le nom devant qui...
Page 19 "...]Mais l'enjeu dépasse largement la fabrication de ces équipements de pointe. Il s'agit ni plus ni moins de la maîtrise d'une technologie essentielle dans les années futures : la simulation numérique. Un train d'atterrissage est un système...
Je ne m'étendrais pas personnellement sur l'article étant donné que vous en trouverez un bien meilleur sur le blog "Carnets-plume" auquel j'adhère. Sachez que vous pouvez trouver sa version numérique téléchargeable pour liseuse, une version consultable...
Page 12 du Bimestriel : [...Face au danger, le consortium électronique Gixel suggère, dans son "livre bleu", paru en Juillet 2014, de généraliser le pistage électronique dès la maternelle pour éduquer les jeunes esprits aux bienfait s de la biométrie...De...
Une année de plus, oui. Une année de plus où les uns s'en vont et d'autres s'en viennent. Une année de plus où la vie s'écoule avec ses drames, ses lachetés, ses inhibitions, ses échecs, ses victoires, ses moments heureux, malheureux. Le temps qui passe,...
Voilà un thriller sanglant sauce corréenne terriblement efficace. Encore une preuve s'il en fallait encore sur le fait que le cinéma corréen du sud compte de plus en plus. Le gros avantage par rapport à son homologue étatsunien qui n'arrète pas de vouloir...
Voilà un petit bijou comme le cnéma des pays de l'Est sait si bien le faire : de l'excentricité, de l'humour, de l'incongrue, du réalisme grotesque, de la beauté formelle, de la philosophie, des o.v.n.i(s) et finalement un cinéma qui a et qui compte dans...
Innocents (Déc 2010) de Bernardo BERTOLUCCI : hédonisme et révolution soixante-huitarde sont-ils solubles ? Une belle comédie romantique sensuelle et sensible dirigée par un des derniers maîtres italiens du cinéma d'après-guerre. L'impasse tragique (1946)...